The Cuban Swing Express
Un des pianistes les plus doués de la nouvelle génération cubaine. Après des années de tournées à travers le monde avec des artistes comme Buika, Chucho Valdés, Irakere, Isaac Delgado... ou en jouant dans de nombreux festivals avec son quartet, le fils du célèbre chef d’orchestre Ricardo Gonzalez a créé "The Cuban Express" - un Big Band moderne et unique en son genre.
The Cuban Swing Express
Initié au piano depuis l’âge de 8 ans à Cuba, Iván "Melon" Lewis est d’abord repéré par le grand Issac Delgado et sera l’un des musiciens phares du groupe éponyme entre 1995 et 1998. Lewis est l’un des premiers à développer la technique timbao pour en faire le cœur de sa musique. En ajoutant des notes supplémentaires à la main gauche, le jeu tumbao crée des mélodies immédiatement reconnaissables que le bassiste Alain Pérez et Lewis lui-même porteront au plus haut niveau de sophistication à ce jour.
Lewis émigre en Espagne au tournant du millénaire, balloté de péripéties en jobs alimentaires avant de pouvoir se procurer son premier piano dans la vieille Europe. Sa rencontre avec Concha Buika en 2007 sera déterminante, un point d’ancrage et d’expérimentations influencées par le flamenco et la copla, genres ibériques par excellence.
Aux côtés des grandes voix et des grands musiciens (Buika, Issac Delgado) ou en quartet, Ivan « Melon » Lewis s’est vite imposé comme l’un des meilleurs pianistes cubains de sa génération. Il devient leader de big band et prend la tête du Cuban Swing Express. Une aventure pas si surprenante puisque son père, Ricardo Gonzalez Duquesne, a tenu la baguette du fameux Orquesta de Música Moderna de Pinar del Rio, formation populaire dans les années 60...
Le dernier projet de Melon est le Cuban Swing Express, qui s'est formé après des années de tournée avec différents artistes. Le Cuban Swing Express comprend 10 des musiciens cubains les plus talentueux vivant en Europe. Ils ont fait leurs débuts au Théâtre de l'Alhambra à Paris en décembre 2014. Le groupe combine un mélange de sons traditionnels et nouveaux sons avec un répertoire combinant des compositions de Perez Prado, Benny Moré, Ernesto Lecuona, un retravail des chansons d' Herbie Hancock, des chansons de Michael Jackson et des Rolling Stones. "Melon" vient d'une famille musicale. Son père, Ricardo Gonzalez Duquesne, ancien directeur de la célèbre Orquesta de Música Moderna de Pinar del Rio des années 60, a eu une influence majeure dans son enfance. Le Cuban Swing Express reprend le son de cette époque, mais ajoute des éléments actuels ; créant un mélange musical frais et original.
Snails in the Creek (Caracoles en el Riachuelo), chanson consacrée à Eleggua, autre divinité Yoruba, met en vedette le chant, totalement improvisé en studio, de Pedrito Martinez. El Guije du nom d’un lutin maléfique des fables cubaines, chantée ici par Esperanza Spalding, évoque des mélodies insolites et enjouées du compositeur brésilien Hermeto Pascoal. Dans Timberobot et Cubismo, Rodriguez exprime son intérêt et ses interrogations sur l’évolution technologique, en recourant à un style très dansant, inspiré en particulier par la timba.
Il débuta à l'age de 17 ans lors d'un concert pour 4 pianos au théâtre America à La Havane, avec Chucho Valdés, Vic Vogel et Ramon Valle, et il fut membre du légendaire groupe "Irakere" et de l'orchestre d'Isaac Delgado. Beaucoup le reconnaisse comme le créateur d'un nouveau style de l'école cubaine de piano, et il est annoncé comme le suivant sur la liste des plus fameux pianistes cubains..
The Cuban Swing Express
Eddie devient professionnel en étant membre du Johnny Seguí's orchestra. En 1954, il constitue un nouveau Conjunto, il joue notamment avec Tito rodriguez, puis il collabore avec Herbie Mann. il remplace son frère Charlie comme pianiste dans le groupe de Tito Puente.
