Nicolás Guillén - Poêmes
- Peux-tu me vendre l'air qui passe entre tes doigts et fouette ton visage et mêle tes cheveux ? - Peut-être pourrais-tu me vendre cinq pesos de vent, ou mieux encore me vendre une tempête ? - Tu me vendrais peut-être la brise légère, la brise. (oh , non, pas toute ! ) qui parcourt dans ton jardin tant de corolles, dans ton jardin pour les oiseaux, dix pesos de brise légère?.
Les thèmes de Nicolás Guillén
Refus de l'injustice, de la colonisation et de l'impérialisme
Il développa ces thèmes dans ses recueils suivants, Sóngoro Cosongo (1931), West Indies Limited (1934) et plus tard Elegías (1948-1958), La Paloma de vuelo popular (1958), Tengo (1964), où s'affirmait son refus de l'injustice, de la colonisation et de l'impérialisme.
Poésie cubaine au vingtième siècle
Nicolás Guillén, né à Camargüey en 1902, est le grand nom de la poésie cubaine au vingtième siècle. Issu d'un milieu ouvrier, il fit des études de droit et devint avocat avant de se tourner vers le journalisme en fondant, en 1923, la revue Lirio. il a chanter les charmes de son île, et son espoir en l’avènement d’une société plus juste.
Poet Laureate by Nicolos Guillen
Son originalité, sa maîtrise des techniques poétiques liées à son engagement politique ne se sont jamais démenties. Ses oeuvres ont permis à un vaste public de s’initier à la culture afro-cubaine.
Nicolás Guillén issu d'un milieu ouvrier, il fit des études de droit et devint avocat avant de se tourner vers le journalisme en fondant, en 1923, la revue Lirio. C'est en 1930 que Guillén publie ses premiers poèmes, Motivos de son.
Refus de l'injustice : Sóngoro Cosongo
Il développa ces thèmes dans ses recueils suivants, Sóngoro Cosongo (1931), West Indies Limited (1934) et plus tard Elegías (1948-1958), La Paloma de vuelo popular (1958), Tengo (1964), où s'affirmait son refus de l'injustice, de la colonisation et de l'impérialisme.
Nicolás Guillén : El Son Entero
Puis Guillén amorça une évolution politique importante : ne se satisfaisant plus désormais de peindre la vie de tous les jours des pauvres et des opprimés, il commença à lutter en leur faveur. Les poèmes para soldados y sones para turistas , (1937) manifestent son engagement croissant.