Deux ans après la sortie d' “Arrasando“, Juan Formell était de retour avec cet album intitulé “La Maquinaria” et ses deux titres phares: “Final” et “Mis Santos son Ustedes“, sans oublier les nouvelle versions très réussies des classiques “Eso que anda” et “Recibeme”. Juan Formell, fondateur du groupe, expliquait que le but était « d’offrir une rétrospective du parcours du groupe et de récupérer une sonorité initiale ». l’album réunit ainsi des thèmes inédits en actualisant d’anciens tubes comme Recíbeme et Eso que anda...
La Maquina » (La machine). La structure de base du groupe est celle de la charanga, mais modernisée avec l’ajout de trombones, guitare et basse électrique, synthétiseur et batterie dont le musicien de cette dernière n’est autre que Samuel Formell. Mais « papa » veille au grain. Samuel est aujourd’hui au commande de la direction du groupe.
Le coup d’éclat de Los Van Van
Il est certain que le départ de la plupart des membres fondateurs fût une drôle d’épreuve pour ce groupe. Cesar « Pupy » Pedroso, Pedrito Calvo, Changuito, Angel Bonne sont à ce jour partis pour rendre possible l’expression de leur propre musique... « Chapeando » signifie « débroussailler », toujours cette idée de précurseur... Angel Bonne est invité sur le disque et Pupy et Changuito étaient au concert donné pour le 35ème anniversaire de Los Van Van à La Havane.
Mario Mayito Rivera & Los Van Van
Presque deux ans après la sortie de “Arrasando“, Juan Formell est de retour avec cet album intitulé “La Maquinaria” et ses deux titres phares: “Final” et “Mis Santos son Ustedes“, sans oublier les nouvelle versions très réussies des classiques “Eso que anda” et “Recibeme”. Juan Formell, fondateur du groupe, expliquait que le but était « d’offrir une rétrospective du parcours du groupe et de récupérer une sonorité initiale ». l’album réunit ainsi des thèmes inédits en actualisant d’anciens tubes comme Recíbeme et Eso que anda. Depuis 40 ans, Juan Formell, fondateur du groupe Los Van Van, avait fusionné les textes, les rythmes et cadences. Ensemble, ils faisaient danser Cuba et tous les amoureux de la musique latine. Ils inventent un groove terrible nommé Songo.