Omar Sosa et Seckou Keita
Transparent Water, sorti en 2017, témoigne de sa quête perpétuelle de nouvelles orientations artistiques, de combinaisons innovantes et de liberté. Dans ce fascinant opus, Sosa jouit de la complicité du chanteur et joueur de kora parmi les grands de sa génération, le Sénégalais Seckou Keita ainsi que le percussionniste vénézuélien Gustavo Ovalles, incroyable avec des maracas. Ce trio de musiciens nous livre une musique transcendante qui enchante par la finesse de ses arrangements, incorporant avec brio, jazz, musique urbaine et rythmes afro-caribéens.
NDR Big Band
L' Album Sentir Premier projet en big band pour le pianiste cubain Omar Sosa. Il publie « Ceremony », un album enregistré avec son quartet et le NDR Big Band, l’orchestre de la radio allemande. Un ensemble habitué aux collaborations avec les grandes pointures du jazz de Wayne Shorter à Bobby Mc Ferrin ou Al Jarreau. Dans Ceremony, Omar Sosa, a choisi d’offrir avec le NDR Big band, une nouvelle lecture de compositions extraites de trois de ses précédents albums. Omar Sosa Ceremony.
Jaques Morelenbaum
Un projet ambitieux pour lequel il a fait appel aux talents d’arrangeur du violoncelliste brésilien Jaques Morelenbaum. Charge à lui de laisser le champ libre aux improvisations d’Omar Sosa tout en utilisant le potentiel des solistes du big band. La musique d’Omar Sosa s’enrichit de nouvelles couleurs tout en conservant ses saveurs originelles.
Free Jazz
Maître de son instrument comme jamais, Sosa parvient à merveille à superposer ses longs phrasés de piano sur le cercle continu des percussions et des voix on entend les cloches d'églises et le chant du muezzin, Une sorte d'happening free jazz, associant des fragments de prières cubaines et marocaines prolongés par des vocalises de la chanteuse cubaine Martha Galarraga ainsi que l'intervention du rappeur Sub-Z. Le tout lié par le lyrique piano d'Omar Sosa.
Omar Sosa Mystique
Cette phrase, Omar Sosa se plaît à la répéter, bien qu'il n'en ait pas besoin. Sa musique parle d'elle-même. Mystique, le pianiste l'est assurément, lui qui a choisi de consacrer sa vie à la spiritualité. Mais pas n'importe laquelle ! Toujours de blanc vêtu, couvert de colliers et de bijoux, Sosa croit aux Orishas, les dieux de la Santeria, le vaudou cubain, la plus importante religion syncrétique de Cuba. Il est vrai que le métissage, il connaît! Il l'a appris à La Havane, qui l'a vu grandir.
L'esprit des ancêtres
L'esprit des ancêtres africains souffle sur l'album Afreecanos. Certes, son jazz s'est toujours enraciné les musiques de son île natale, car il est initié aux tambours de la santería et à leur mysticisme hérité des anciens esclaves noirs. Mais cette fois, il invite une chanteuse malienne (Mamani Keita) et un vocaliste sénégalais (Mola Sylla), aux côtés d'un flûtiste peul (Ali Wagué), d'un joueur de kora (Ali Boulo Santo) et d'un percussionniste mandingue (Baba Sissoko).
l'Album Calma
Omar Sosa en piano solo
Enregistré à Brooklyn en octobre 2009 en condition de Live, Calma cinquième album d’Omar Sosa en piano solo. Il s’agit d’un travail singulier sur le plan artistique, une approche originale du genre comprenant treize improvisations, chacune conviant les éléments stylistiques du jazz, de la musique classique, de la musique ‘’d’ambiance’’ et de l’électro. Cet album est une invitation à la relaxation et à l’introspection. Omar le décrit ainsi : Chaque titre inspire le suivant et l’improvisation est la base de l’expression musicale. Je voulais jouer du début à la fin sans penser les thèmes, simplement sentir où me conduiraient les notes, en suivant la voix de mon âme. Ce disque est une rencontre entre les sensibilités mélodiques d’Erik Satie et celles de Pierre Boulez.